Il y a quelques années, j'ai décidé par décret royal de fêter indéfiniment mes 25 ans, et ce que j’aime, c’est lorsque l’une de mes auteurs fétiches sort pile pour mon anniversaire son nouveau livre.
Ce n’est pas tant le nombre de bougies qui me chagrine, mais les protestations de Chi-Chi qui essaye de me persuader d’ajouter une bougie à mon gâteau. Mais rassurez-vous, elle aura beau me menacer avec sa lourde clé anglaise rouillée, je resterai éternellement une princesse jeune…
Cela étant établi, passons à mon auto-cadeau d'anniversaire et à la sortie littéraire magique de ce début de mois. Elizabeth Hoyt et le troisième opus de sa série « Maiden Lane » qui est arrivé dans ma boite aux lettres à l’heure où les citrouilles s’illuminaient sur les bords de fenêtres. Et c’est donc bien au chaud devant ma cheminée imaginaire que j’ai dévoré Scandalous Desires.
Elizabeth Hoyt est de ces auteurs dont l’œuvre demande une mise en condition. En bonnes routières de la romance, nous saurons, Chi-Chi et moi-même, reconnaître l’erreur du néophyte si, par hasard, nous la croisons dans un train/bus/panda-taxi… Ou tout autre lieu public. Rappelez-vous, lire un Elizabeth Hoyt, c’est rougissements et palpitations assurés !
Et comme Elizabeth est une personne qui aime ses lecteurs, elle s’est appliquée avec son nouveau livre à nous mettre en condition dès la couverture. Enfin, quand je parle de couverture, je parle bien-sûr de la sous-couverture qui existe dans la romance anglo-saxonne. Cette même sous-couverture qui dévoile bien souvent des scènes très « Ouh-La-La ! ».
Cela étant établi, passons à mon auto-cadeau d'anniversaire et à la sortie littéraire magique de ce début de mois. Elizabeth Hoyt et le troisième opus de sa série « Maiden Lane » qui est arrivé dans ma boite aux lettres à l’heure où les citrouilles s’illuminaient sur les bords de fenêtres. Et c’est donc bien au chaud devant ma cheminée imaginaire que j’ai dévoré Scandalous Desires.
Elizabeth Hoyt est de ces auteurs dont l’œuvre demande une mise en condition. En bonnes routières de la romance, nous saurons, Chi-Chi et moi-même, reconnaître l’erreur du néophyte si, par hasard, nous la croisons dans un train/bus/panda-taxi… Ou tout autre lieu public. Rappelez-vous, lire un Elizabeth Hoyt, c’est rougissements et palpitations assurés !
Et comme Elizabeth est une personne qui aime ses lecteurs, elle s’est appliquée avec son nouveau livre à nous mettre en condition dès la couverture. Enfin, quand je parle de couverture, je parle bien-sûr de la sous-couverture qui existe dans la romance anglo-saxonne. Cette même sous-couverture qui dévoile bien souvent des scènes très « Ouh-La-La ! ».
Une baignoire, un baiser langoureux à la lueur des chandelles, une main virile qui remonte sensuellement le long de la jambe d’une demoiselle qui profite de la propriété physique magique de la mousse (qui semble savoir quelles parties du corps recouvrir en priorité) pour se laisser aller à la langueur d'un bain avec ce que je suppose être son amant... Notez la présence de la bagounette au doigt du viril monsieur, c'est d'un goût parfait…
*soupir* (oui, je suis quand même très impressionnable)
*soupir* (oui, je suis quand même très impressionnable)
Tournons le livre, c’est plus sûr. Et plongeons nous enfin dans le synopsis : Mickey O’Connor… bla bla bla… Silence Hollingbrook… bla bla… pirate… bla … widow (NDLR: Veuve en français)… love. Des ingrédients prometteurs ma foi. Je reprends mon souffle pour ouvrir à nouveau le livre et résister à l’appel de la sous-couverture et entame la lecture du livre…
Silence Hollingbrooke, est désormais en charge de la maison pour les enfants nécessiteux. Depuis le décès de son mari, elle a pris la suite de sa sœur Temperance qui a nettement mieux à faire depuis qu’elle a convolé en justes noces avec le délicieux Lord Caire.
Mais le veuvage n’a pas été tendre avec notre Silence. Heureusement, la petite Mary Darling, trouvée une nuit sur son pas de porte, lui permet de sortir doucement de la torpeur dans laquelle la mort de Monsieur Hollingbrooke l’avait plongé (la pauvre petite).
Mais comme il faut bien un élément perturbateur pour enfin réunir les deux héros, la voilà contrainte de quitter la maison pour aller s’installer chez le Lord du crime, Mickey O’Connor. Je vais vous laisser tout le loisir de découvrir les arguments de ce bandit au charme insolent mais leur rencontre, c’est un peu le choc des cultures. Silence est une veuve bien comme il faut, élevée à la puritaine avec une notion plus qu’établie de ce qu’est le bien et le mal. Mickey (aucun lien de parenté avec une souris) est un enfant des rues, qui a été élevé par la loi impitoyable que la pauvreté dicte aux habitants des bas quartiers. Mickey, en plus d’être un leader beau et viril, il sait ce qu’il veut. Ces derniers temps, il est d’ailleurs étonné par la nature de ses envies. C’est qu'il n’est pas habituel d’avoir envie d’une petite veuve comme Silence. Et puis, sous son costume de souris, elle a du répondant.
Cette histoire, en plus de répondre à la question éternelle « pourquoi les bad boys sont-ils toujours irrésistibles », est la rencontre entre deux âmes torturées. Et si vous pensez que seuls les thrillers peuvent vous laisser sur la brèche, attendez de voir la tension qu’Elisabeth a su créer autour de ce couple…
J’ai retenu mon souffle, au moins jusqu’à la fin. Et je n'ai qu'une hâte, que le dernier sorte pour enfin en avoir fini avec la famille des prénoms les plus hippy de l'éré victorienne! (je vous rappelle qu'après Temperance et Silence, nous aurons l'histoire de Winter)
Bonne lecture,
Tam-Tam
Note du prince pas si charmant : ce dernier a l’œil de lynx. Il a remarqué qu’en plus de la sous-couverture, le livre possédait aussi un flashcode. Alors que je reprenais mon souffle, il a cracké le code et m’a dévoilé une vidéo qu’il va vous falloir voir puisqu’il s’agit du making-of de la sous couverture. Un bijou d’art !
Silence Hollingbrooke, est désormais en charge de la maison pour les enfants nécessiteux. Depuis le décès de son mari, elle a pris la suite de sa sœur Temperance qui a nettement mieux à faire depuis qu’elle a convolé en justes noces avec le délicieux Lord Caire.
Mais le veuvage n’a pas été tendre avec notre Silence. Heureusement, la petite Mary Darling, trouvée une nuit sur son pas de porte, lui permet de sortir doucement de la torpeur dans laquelle la mort de Monsieur Hollingbrooke l’avait plongé (la pauvre petite).
Mais comme il faut bien un élément perturbateur pour enfin réunir les deux héros, la voilà contrainte de quitter la maison pour aller s’installer chez le Lord du crime, Mickey O’Connor. Je vais vous laisser tout le loisir de découvrir les arguments de ce bandit au charme insolent mais leur rencontre, c’est un peu le choc des cultures. Silence est une veuve bien comme il faut, élevée à la puritaine avec une notion plus qu’établie de ce qu’est le bien et le mal. Mickey (aucun lien de parenté avec une souris) est un enfant des rues, qui a été élevé par la loi impitoyable que la pauvreté dicte aux habitants des bas quartiers. Mickey, en plus d’être un leader beau et viril, il sait ce qu’il veut. Ces derniers temps, il est d’ailleurs étonné par la nature de ses envies. C’est qu'il n’est pas habituel d’avoir envie d’une petite veuve comme Silence. Et puis, sous son costume de souris, elle a du répondant.
Cette histoire, en plus de répondre à la question éternelle « pourquoi les bad boys sont-ils toujours irrésistibles », est la rencontre entre deux âmes torturées. Et si vous pensez que seuls les thrillers peuvent vous laisser sur la brèche, attendez de voir la tension qu’Elisabeth a su créer autour de ce couple…
J’ai retenu mon souffle, au moins jusqu’à la fin. Et je n'ai qu'une hâte, que le dernier sorte pour enfin en avoir fini avec la famille des prénoms les plus hippy de l'éré victorienne! (je vous rappelle qu'après Temperance et Silence, nous aurons l'histoire de Winter)
Bonne lecture,
Tam-Tam
Note du prince pas si charmant : ce dernier a l’œil de lynx. Il a remarqué qu’en plus de la sous-couverture, le livre possédait aussi un flashcode. Alors que je reprenais mon souffle, il a cracké le code et m’a dévoilé une vidéo qu’il va vous falloir voir puisqu’il s’agit du making-of de la sous couverture. Un bijou d’art !
Alors déjà, c'est une tenaille, pas une clé anglaise, et ensuite, ce n'est même pas drole, tu n'expliques pas à quoi me sert cet outil! ;o)
RépondreSupprimerBon, je note, à ne lire que chez soi, donc!!! :)
RépondreSupprimerBonne fête!! :)
RépondreSupprimerJe n'ai jamais lu Elizabeth Hoyt, mais je vais la rajouter à ma wishlist de ce pas...
Ouh làlà c'est chaud les marrons dans ces contrées littéraires. Tu n'as pas honte de montrer des images pareilles à nos sages consciences ? Quant à l'exquise bague de monsieur, elle m'a bien fait rire
RépondreSupprimer@Chi-Chi: c'est pour agresser les postier qui voudraient tu subtiliser tes livres bien sûr!! ^^
RépondreSupprimer@pimpi: oui, il vaut mieux, sauf si tu n'as pas honte d'etre écrevisse dans les transports en communs ^^
@asia: si tu dois commencer par un hoyt, ne commence pas par celui là! préfère lui le deuxième tome de la série précédente!! celle des 4 soldats!
@eudoxie: c'est qu'elle finit par avoir une importance en fait la-dite bagounette!!
et non, aucune honte! héhé
Oh bah tu sais, j'ai quand même lu les Highlanders de KMM dans le métro, et toutes les scènes hot des romances que je lis arrivent, d'une manière totalement étrange, quand je suis dans le métro, allez comprendre pourquoi! Donc, je suis habituée à avoir un visage de marbre alors que je suis en ébullition à l'intérieur! :)
RépondreSupprimer@pimpi: après "poker face" la "romance face" est de rigueur pour se fondre dans le paysage urbain lorsque l'on est plongé dans son livre favorit ^^
RépondreSupprimerPfff ....
RépondreSupprimer@yayane: pourquoi pffff?
RépondreSupprimer[soupir d'envie et de désespoir concernant les traductions]
RépondreSupprimerJ'aime ce nom, oui, romance face.... tellement bien trouvé!!!
RépondreSupprimer@yayane: ne te désespère pas, les romans de hoyt finissent par etre traduits!!
RépondreSupprimer@pimpi: merci!! on va pouvoir faire un remake de lady gaga avec romance face!!!
Rooooooooh, ouiiii!
RépondreSupprimerRo-ro-ro-romance face, ro-ro-romance faaaaace! :D
Can't read my! can't read my...romance face!!!!
RépondreSupprimer(ce qui est ironique il faut avouer!)
Mouahahahahahaaaa! :D
RépondreSupprimerHoo, ce making of, un grand moment d'art !! Mais comment font-ils pour ne pas rire ??
RépondreSupprimerEn tout cas... ce roman donne envie.. le drame, va falloir que je lise les 2 premiers tomes avant de découvrir celui-ci (je ne sais aps lire de façon désordonnée !!)