Continuons notre série de nouvelles (oui, on avait fait une petite pause, mais ne croyez pas que nous vous avions oublié!).
Avec aujourd'hui, Surrender of the moon and stars de Nora Little Roberts qui est, dans son temps libre, directrice de la Julliard School à New York et chante dans un groupe de Hard Rock Metal Punk pour les enfants, appelé « Snow White and the white powder ». Ancienne chanteuse lyrique, elle a décidé de se consacrer à l’écriture afin d’être plus proche de ses deux jumeaux Nora Junior et Norbert Junior qui ont « entre deux et quatre ans ». Avant « Surrender of the Moon and the stars », elle avait déjà publié “Surrender of the heart and the tears” ainsi que “Surrender of the gentleman and the lady” et a donc changé de registre avec ce nouveau roman.
Avec aujourd'hui, Surrender of the moon and stars de Nora Little Roberts qui est, dans son temps libre, directrice de la Julliard School à New York et chante dans un groupe de Hard Rock Metal Punk pour les enfants, appelé « Snow White and the white powder ». Ancienne chanteuse lyrique, elle a décidé de se consacrer à l’écriture afin d’être plus proche de ses deux jumeaux Nora Junior et Norbert Junior qui ont « entre deux et quatre ans ». Avant « Surrender of the Moon and the stars », elle avait déjà publié “Surrender of the heart and the tears” ainsi que “Surrender of the gentleman and the lady” et a donc changé de registre avec ce nouveau roman.
L’heure
était venue pour Cecily de La Grange d’affronter la vérité et de
révéler la vérité à l’homme qu’elle aimait. L’homme en question se
tenait en face d’elle, sa haute taille majestueuse et ses yeux noirs et
brillants étaient fixés sur elle. Ranulf Jackman, comte de Sussex, avait
une réputation de séducteur et ne semblait vivre que pour son domaine
familial qu‘il entretenait avec passion, la séduction et Carotte, son
poney et meilleur ami qu’il avait reçu pour ses dix ans et à qui il
aimait se confier; jusqu’à présent, ses confidences se portaient surtout
sur ses conquêtes féminines, ses angoisses concernant le domaine et la
politique du pays.
Mais depuis quelques jours, Carotte n’entendait plus parler que d’une seule chose: une magnifique femme brune aux yeux noirs, nommée Cecily. Il ne l’avait rencontrée il y a seulement 5 jours, mais il savait déjà qu’il la devait la connaître. Il ne savait ni sa date de naissance, ni même qui était son père, mais sa beauté était telle qu’il n’avait pas eu besoin de réfléchir plus longtemps avant de décider qu’il l’aimait. Depuis ce jour, Ranulf apparaissait dans chaque endroit que Cecily fréquentait, il avait repoussé chaque homme essayant de se rapprocher d’elle ou seulement de lui adresser la parole, et, bien qu’il n’osait l’avouer à Carotte qu’à demi-mot, il ne pouvait s’empêcher de l’observer à la dérobée à l’autre bout d’une salle de bal, d’un jardin ou même d’une table. Mais elle semblait déterminée à ne jamais croiser son regard, ou à se trouver à proximité de lui. Quand il l’avait vu quitter la salle de bal et se diriger vers le large balcon, il avait décidé de la confronter. Pourquoi l’évitait-elle? Ne comprenait-elle pas l’affection, chaque jour grandissante, qu’il lui portait?
Cecily sortit sur le balcon prendre l’air, tant l’atmosphère de la salle de bal lui devenait irrespirable. Elle s’appuya sur la balustrade de pierre et poussa un long soupir: elle qui aimait tant danser, aurait dû être aux anges lors de ce bal. Après tout, elle portait une nouvelle robe de satin bleue qui soulignait ses belles formes, ses magnifiques yeux de braise et sa chevelure de jais. Elle était toujours très sollicitée lors de ce genre de soirées, et son carnet de bal inlassablement rempli.
Mais depuis quelques jours, Carotte n’entendait plus parler que d’une seule chose: une magnifique femme brune aux yeux noirs, nommée Cecily. Il ne l’avait rencontrée il y a seulement 5 jours, mais il savait déjà qu’il la devait la connaître. Il ne savait ni sa date de naissance, ni même qui était son père, mais sa beauté était telle qu’il n’avait pas eu besoin de réfléchir plus longtemps avant de décider qu’il l’aimait. Depuis ce jour, Ranulf apparaissait dans chaque endroit que Cecily fréquentait, il avait repoussé chaque homme essayant de se rapprocher d’elle ou seulement de lui adresser la parole, et, bien qu’il n’osait l’avouer à Carotte qu’à demi-mot, il ne pouvait s’empêcher de l’observer à la dérobée à l’autre bout d’une salle de bal, d’un jardin ou même d’une table. Mais elle semblait déterminée à ne jamais croiser son regard, ou à se trouver à proximité de lui. Quand il l’avait vu quitter la salle de bal et se diriger vers le large balcon, il avait décidé de la confronter. Pourquoi l’évitait-elle? Ne comprenait-elle pas l’affection, chaque jour grandissante, qu’il lui portait?
Cecily sortit sur le balcon prendre l’air, tant l’atmosphère de la salle de bal lui devenait irrespirable. Elle s’appuya sur la balustrade de pierre et poussa un long soupir: elle qui aimait tant danser, aurait dû être aux anges lors de ce bal. Après tout, elle portait une nouvelle robe de satin bleue qui soulignait ses belles formes, ses magnifiques yeux de braise et sa chevelure de jais. Elle était toujours très sollicitée lors de ce genre de soirées, et son carnet de bal inlassablement rempli.
Sa
mère, Lady B., la couvait d’un œil attendri pendant qu’elle virevoltait
avec l’un de ses nombreux prétendants et ses frères, William, Francis,
Christopher et compagnie, lorsqu’ils ne faisaient pas la cour à quelque
jeune fille, vantaient ses mérites auprès de leurs amis, fiers qu’ils
étaient d’avoir une sœur aussi belle et attentionnée, et qui plus est
avec de la personnalité. Quand à sa petite sœur, dont elle était si
proche, elle était admirative et, dès qu’elles ne dansaient pas, elle la
rejoignait pour lui raconter quelque histoire croustillante sur l’une
des débutantes ayant été surprise trop proche d’un gentilhomme, ou tel
couple sur le point d’annoncer des fiançailles, parfois beaucoup trop
rapides et précipitées pour être un simple coup de foudre…
Oui, cette soirée aurait dû être ordinaire, parfaite, presque répétitive. Mais voilà, Cecily ne comprenait pas: tout d’abord elle avait été moins sollicitée que d’habitude, ensuite elle s’était sentie observée, épiée même, toute la nuit. Et enfin, il était là. Malgré les nombreuses personnes, les jeunes filles, les chaperons, les bons partis, les nombreux membres de sa famille, y compris cinq de ses très bruyantes et peu discrètes cousines De Saint-Machin et Des Marais de Quelque-chose, oui malgré même la présence de ses amies à quelques mètres d’elle, elle ne voyait que lui. Discrètement bien sûr, elle lui jetait, quand elle était certaine de ne pas être vue, des regards furtifs qu’elle voulait les plus discrets possible.
Oui, cette soirée aurait dû être ordinaire, parfaite, presque répétitive. Mais voilà, Cecily ne comprenait pas: tout d’abord elle avait été moins sollicitée que d’habitude, ensuite elle s’était sentie observée, épiée même, toute la nuit. Et enfin, il était là. Malgré les nombreuses personnes, les jeunes filles, les chaperons, les bons partis, les nombreux membres de sa famille, y compris cinq de ses très bruyantes et peu discrètes cousines De Saint-Machin et Des Marais de Quelque-chose, oui malgré même la présence de ses amies à quelques mètres d’elle, elle ne voyait que lui. Discrètement bien sûr, elle lui jetait, quand elle était certaine de ne pas être vue, des regards furtifs qu’elle voulait les plus discrets possible.
Cependant
il semblait aussi distant, inaccessible et sublime que d’habitude. Elle
qui était toujours maîtresse d’elle-même, elle ne comprenait pas ce
qui se passait. Elle avait donc ressenti le besoin de s’isoler et de
prendre un peu d’air frais, en dehors de cette salle de bal où la fumée
des cigarettes, les couples en train de danser, la musique si forte et
les rires aiguës des jeunes filles lui donnaient l’impression de
suffoquer. Elle essayait encore de se calmer un peu, tout en maudissant
intérieurement ces satanés corsets qui empêchaient de respirer, quand
elle sentit une présence derrière elle. Elle s’immobilisa. Le bruit des
pas, qui s’efforçaient visiblement d’être discrets, se rapprochait
d’elle.
Ranulf s’approcha silencieusement d’elle et se plaça à côté d’elle, sans la regarder.
« Quel belle lune nous avons ce soir », dit-il.
Cecily sursauta. Elle ne l’avait pas entendu arriver.
« Heu, oui, je suppose. Le ciel est fort dégagé, on peut donc bien la voir. »
Ranulf s’approcha silencieusement d’elle et se plaça à côté d’elle, sans la regarder.
« Quel belle lune nous avons ce soir », dit-il.
Cecily sursauta. Elle ne l’avait pas entendu arriver.
« Heu, oui, je suppose. Le ciel est fort dégagé, on peut donc bien la voir. »
Elle
fit une pause et demanda « Je ne savais pas, comte, que vous aimiez
l’astronomie. moi-même, je serais bien incapable de distinguer une
constellation d’une autre. »
Ranulf répondit avec bien plus d’assurance qu’il n’en avait en vérité, car il était autant expert en planètes et astres qu’en jonglage et en funambulisme : « Voyez- vous ces cinq étoiles rapprochées les unes des autres sur votre droite? Il s’agit de la petite ourse. Et plus loin, vous pouvez apercevoir la Grande Ourse. »
« Je ne vois pas, désolée ». Il s’approcha encore plus d’elle, prit sa main dans la sienne et la pointa en direction de la constellation.
Elle frissonna quand il toucha sa main, bien qu’elle essaya de le cacher. Elle ne pouvait lui montrer l’émotion qu’elle éprouvait à se tenir si près de lui, comme dans ses rêves qu’elle ne voulait même pas confier à sa sœur ou à une de ses amies. Cecily se concentra sur le ciel et soudain, juste au dessus de son doigt pointé, de leurs mains presque enlacées, elle l’aperçut. Ses yeux s’agrandirent de joie et elle dit, tout en souriant d’excitation : « ça y est je la voie! Oh comme c’est beau! Si seulement j’avais mes pinceaux et mes couleurs, cela ferait une si belle peinture… ». Elle tourna son regard vers le sien.
Et tout se dit sans qu’ils ne parlent. Nul besoin, car les yeux disaient tout pour eux. L’amour, le désir, la passion, l’appréhension, et même un peu de peur se mêlaient à l’impatience dans leurs regards, et sans même qu’ils ne s’en rendent compte, les lèvres de Ranulf se rapprochaient des siennes.
Scène explicite...
Puis, lentement, leurs lèvres se séparèrent, mais ils continuèrent à s’enlacer. Quelle folie! Cecily ne comprenait pas ce qui lui arrivait; n’importe qui aurait pu les voir. Sa réputation, celle de sa famille, ruinée par un moment de faiblesse pendant un bal, un bal fréquenté par la plus haute société londonienne, de surcroit! Son nom serait pour toujours entaché comme étant été séduite par Ranulf Trescott, comte de Sussex, un des plus grands séducteurs de Londres. Et aussi accessoirement l’objet de son cœur.
Ranulf répondit avec bien plus d’assurance qu’il n’en avait en vérité, car il était autant expert en planètes et astres qu’en jonglage et en funambulisme : « Voyez- vous ces cinq étoiles rapprochées les unes des autres sur votre droite? Il s’agit de la petite ourse. Et plus loin, vous pouvez apercevoir la Grande Ourse. »
« Je ne vois pas, désolée ». Il s’approcha encore plus d’elle, prit sa main dans la sienne et la pointa en direction de la constellation.
Elle frissonna quand il toucha sa main, bien qu’elle essaya de le cacher. Elle ne pouvait lui montrer l’émotion qu’elle éprouvait à se tenir si près de lui, comme dans ses rêves qu’elle ne voulait même pas confier à sa sœur ou à une de ses amies. Cecily se concentra sur le ciel et soudain, juste au dessus de son doigt pointé, de leurs mains presque enlacées, elle l’aperçut. Ses yeux s’agrandirent de joie et elle dit, tout en souriant d’excitation : « ça y est je la voie! Oh comme c’est beau! Si seulement j’avais mes pinceaux et mes couleurs, cela ferait une si belle peinture… ». Elle tourna son regard vers le sien.
Et tout se dit sans qu’ils ne parlent. Nul besoin, car les yeux disaient tout pour eux. L’amour, le désir, la passion, l’appréhension, et même un peu de peur se mêlaient à l’impatience dans leurs regards, et sans même qu’ils ne s’en rendent compte, les lèvres de Ranulf se rapprochaient des siennes.
Scène explicite...
Puis, lentement, leurs lèvres se séparèrent, mais ils continuèrent à s’enlacer. Quelle folie! Cecily ne comprenait pas ce qui lui arrivait; n’importe qui aurait pu les voir. Sa réputation, celle de sa famille, ruinée par un moment de faiblesse pendant un bal, un bal fréquenté par la plus haute société londonienne, de surcroit! Son nom serait pour toujours entaché comme étant été séduite par Ranulf Trescott, comte de Sussex, un des plus grands séducteurs de Londres. Et aussi accessoirement l’objet de son cœur.
Car
elle le savait maintenant : par ce baiser, elle avait ouvert les yeux
et s’était rendue à l’évidence: elle l’aimait. Comme elle n’avait jamais
aimé personne. Mais cet amour n’était pas possible: qu’était elle pour
lui? Une simple conquête parmi les autres. Chacun savait que depuis
qu’il était revenu blessé de la guerre, depuis qu’il avait combattu ces
brutes de français, avides de sang et de pouvoir, et leur cruel Empereur
Napoléon, que son brave père Lord Emmanuel avait aussi affronté au
péril de sa vie, oui depuis cette tragique aventure, Ranulf ne s’était
pas engagé ni n’avait montré d’attachement particulier envers une femme.
Ranulf allait parler quand soudain il entendit comme un horrible bruit et avant qu’il ne puisse faire un geste, le balcon de pierre sur lequel ils se tenaient se cassa, et la rambarde tomba dans le vide, et eux avec. Instinctivement, il la serra encore plus fort contre lui, la protégeant de son corps autant que possible. Il tomba sur le sol avec force et ressenti une forte douleur à la jambe mais cela ne l’importait guère: il voulait à tout prix savoir si elle allait bien.
« Milady, allez vous? Ressentez vous une douleur quelque part? Je… », demanda-t-il, tout en grimaçant de douleur.
« Non, tout va bien. C’est vous avez pris le choc à ma place. Vous avez sauvé ma vie. », répondit-elle, encore sous le choc. Elle entendait le bruit des gens qui se dépêchaient de sortir pour voir ce qui s’était passé. « Mais vous êtes blessé! Seigneur! Je suis désolée! », cria-t-elle en voyant le rictus de douleur de Ranulf.
« Ce n’est rien, Lady Cecily. Pour vous, pour que vous soyez saine et sauve, je le referais mille fois. », avoua-t-il.
« Oh Comte, ainsi vous m’aimez donc un peu? », demanda-t-elle sous le choc.
« Je vous aime plus que ma propre vie. Vous êtes dans toutes mes pensées, dans tous mes rêves. Épousez moi, et ils deviendront réalité. Épousez moi, je passerai ma vie à accomplir chacun de vos désirs, chacun de vos rêves. »
Alors Cecily, sans même prendre le temps d’y réfléchir à deux fois, répondit : « OUIIIIIII!!!!!! Oui, je vous épouserais! »
Et ils s’embrassèrent de nouveau, tout en pensant au futur si plaisant qui les attendait. « Mais rassurez moi, Comte, vous n’aimez pas le football? », demanda quand même Cecily, en interrompant le baiser pour une seconde...
J'espère que cette petite incursion sous la plume de nos guests vous a plu!
Bonne semaine,
Chi-Chi
Ranulf allait parler quand soudain il entendit comme un horrible bruit et avant qu’il ne puisse faire un geste, le balcon de pierre sur lequel ils se tenaient se cassa, et la rambarde tomba dans le vide, et eux avec. Instinctivement, il la serra encore plus fort contre lui, la protégeant de son corps autant que possible. Il tomba sur le sol avec force et ressenti une forte douleur à la jambe mais cela ne l’importait guère: il voulait à tout prix savoir si elle allait bien.
« Milady, allez vous? Ressentez vous une douleur quelque part? Je… », demanda-t-il, tout en grimaçant de douleur.
« Non, tout va bien. C’est vous avez pris le choc à ma place. Vous avez sauvé ma vie. », répondit-elle, encore sous le choc. Elle entendait le bruit des gens qui se dépêchaient de sortir pour voir ce qui s’était passé. « Mais vous êtes blessé! Seigneur! Je suis désolée! », cria-t-elle en voyant le rictus de douleur de Ranulf.
« Ce n’est rien, Lady Cecily. Pour vous, pour que vous soyez saine et sauve, je le referais mille fois. », avoua-t-il.
« Oh Comte, ainsi vous m’aimez donc un peu? », demanda-t-elle sous le choc.
« Je vous aime plus que ma propre vie. Vous êtes dans toutes mes pensées, dans tous mes rêves. Épousez moi, et ils deviendront réalité. Épousez moi, je passerai ma vie à accomplir chacun de vos désirs, chacun de vos rêves. »
Alors Cecily, sans même prendre le temps d’y réfléchir à deux fois, répondit : « OUIIIIIII!!!!!! Oui, je vous épouserais! »
Et ils s’embrassèrent de nouveau, tout en pensant au futur si plaisant qui les attendait. « Mais rassurez moi, Comte, vous n’aimez pas le football? », demanda quand même Cecily, en interrompant le baiser pour une seconde...
J'espère que cette petite incursion sous la plume de nos guests vous a plu!
Bonne semaine,
Chi-Chi
Ca manque d'un ou deux tatouages ;-) mais sinon j'aime pas mal la plume acide de Nora Little Roberts. D'ailleurs je me demande Nora Little Roberts serait-elle la rousse, la fameuse rousse ?
RépondreSupprimerEst ce qu'il y aurait un tome 2 avec Carotte ?
désolée pour ces blagues et jeu de mot tout pourri mais c'est lundi c'est permis.
Pour Carotte il faut demander à l'auteur, mais je crois bien que lui doit avoir un tatouage! ;)
SupprimerC'est que le début, d'accord, d'accord... :)
RépondreSupprimerEn balade du côté de par ici j'ai bien aimé ce que j'ai lu et l'ambiance aussi...
Si d'aventure vous en rencontrez un ( un vrai veux-je dire ) invitez quelques copines qui vous aideront à remettre les pieds au sol...je tiens à votre disposition une petite formule qui calme les ardeurs et transforme les Princes en crapauds (et réciproquement ! )
Amicalement
☼ ♫ Dame ¢asta
Reviens donc vite nous voir, on est toujours en quête de crapauds à transformer en prince! ;)
SupprimerAh il y avait longtemps qu'on avait pas eu droit à notre petite histoire !!
RépondreSupprimerc'est toujours génial ! une fois de plus félicitation aux auteures !
Merci! Après la ballade de lundi, il ne reste qu'une histoire... mais elle est plus longue, ce sera surement des épisodes! ^_^
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