J’ai une théorie.
En vrai, j’ai plein de théories, plein d’échelles, de termes et d’expressions sorties de nulle part, j’admets. Mais c’est toujours dans l’intérêt de mon argumentaire, donc je suis pardonnée ?
J’ai donc une théorie. Une théorie qui fait écho à celle de Chi-Chi à propos des Colin de sa vie. Les héros dont le nom finit en "ek" sont des badass sexy en diable devant lesquels je perds tout contrôle de mes glandes salivaires et une partie de mon QI…
Autres points communs : un passé sombre, un problème de confiance dans la race humaine, une capacité à survivre.
Comment je le sais ?
D’abord parce que Derek…*sigh*……
Et ensuite, parce que Zarek……..
Et Zarek, dans la tribu des DH, c’est sans doute le plus dark du lot (humour pourri post week-end, prise 1 !)
Dance with the Devil (traduit sous Xanax par Le loup blanc) est le tome 4 de la série de Sherrilyn Kenyon. Ce tome date de 2003, autant dire de la préhistoire de la romance paranormale. Mais je suis une early-adopteuse, que voulez-vous !
Donc Zarek, chez les DH, n’est pas vraiment Mister Popularité. Du coup, quand un doute plane sur le bien-fondé de ses actions, Artémis ne se pose pas vraiment de questions et exige sa mort. Elle n’est qu’amour et compréhension, notre déesse. Heureusement, Acheron, le mystérieux boss des DH, voit en Zarek plus que l’homme agressif et violent (la psychologue de comptoir qui sommeille ne moi argue qu’il y voit sans doute une partie de lui, toussa, toussa…). Quoiqu’il en soit, il persuade Astrid, nymphe aveugle de la justice impartiale, de se pencher sur le cas Zarek et de déterminer si oui ou non il mérite d’être sauvé.
Voilà le concept du livre.
Comme Sherrilyn est douée, elle nous plante le décor en Alaska. Nous rappelons à notre aimable lectorat que le DH, c’est un vampire. En mieux, certes, mais les rayons du soleil ne sont pas vraiment bénéfique. Du coup, l’Alaska, si près des pôles, cela crée un certain nombre de problématiques liées à la durée du "jour" et de la "nuit". Par une machination plus ou moins réussie et l’arrivée subite du blizzard, Zarek se retrouve coincé chez Astrid. Qui va alors avoir le temps de tester "la bête"…
Et comme Sherrilyn aime pimenter les choses, elle a lancé après le couple une série de méchants assoiffés de sang et de vengeance, si bien que le jugement de Zarek ne va pas se dérouler dans la paisible béatitude de la maison d’Astrid.
Mais dans un sens, c’est dans les situations désespérées que l’âme profonde des hommes (et des DH) se révèle. C’est là, j’imagine, le message philosophique de l’auteur (oui, moi, dans les DH, entre deux bastons et trois scènes de découvertes des sens, je vois de la philosophie). Astrid saura voir la véritable nature de notre sombre héros lorsque, dans la tourmente, ce dernier fera passer le bien-être des autres avant le sien.
Il est donc question de trahison, de rédemption, et d’acceptation.
Allez le lire, c’est un ordre.
Avant de rendre l’antenne, juste un mot sur la traduction du titre. Astrid, en bonne nymphe qu’elle est, a un animal/compagnon à la digne mesure de son rang : un loup blanc nommé Sacha, qui est en réalité un "were-hunter" - terme de l’auteur qui désigne un être s’apparentant au loup-garou, en mieux, bien évidemment.
Du coup, je me demande ce qui est passé par la tête de l’éditeur pour qu’il se dise soudainement que "Le loup blanc" était un titre parfaitement crédible pour ce livre dont le titre en VO s’apparente plus à "Danse avec le diable".
Nan, vraiment, je ne sais pas…
Bonne lecture en tous les cas,
Tam-Tam
En vrai, j’ai plein de théories, plein d’échelles, de termes et d’expressions sorties de nulle part, j’admets. Mais c’est toujours dans l’intérêt de mon argumentaire, donc je suis pardonnée ?
J’ai donc une théorie. Une théorie qui fait écho à celle de Chi-Chi à propos des Colin de sa vie. Les héros dont le nom finit en "ek" sont des badass sexy en diable devant lesquels je perds tout contrôle de mes glandes salivaires et une partie de mon QI…
Autres points communs : un passé sombre, un problème de confiance dans la race humaine, une capacité à survivre.
Comment je le sais ?
D’abord parce que Derek…*sigh*……
Et ensuite, parce que Zarek……..
Et Zarek, dans la tribu des DH, c’est sans doute le plus dark du lot (humour pourri post week-end, prise 1 !)
Dance with the Devil (traduit sous Xanax par Le loup blanc) est le tome 4 de la série de Sherrilyn Kenyon. Ce tome date de 2003, autant dire de la préhistoire de la romance paranormale. Mais je suis une early-adopteuse, que voulez-vous !
Donc Zarek, chez les DH, n’est pas vraiment Mister Popularité. Du coup, quand un doute plane sur le bien-fondé de ses actions, Artémis ne se pose pas vraiment de questions et exige sa mort. Elle n’est qu’amour et compréhension, notre déesse. Heureusement, Acheron, le mystérieux boss des DH, voit en Zarek plus que l’homme agressif et violent (la psychologue de comptoir qui sommeille ne moi argue qu’il y voit sans doute une partie de lui, toussa, toussa…). Quoiqu’il en soit, il persuade Astrid, nymphe aveugle de la justice impartiale, de se pencher sur le cas Zarek et de déterminer si oui ou non il mérite d’être sauvé.
Voilà le concept du livre.
Comme Sherrilyn est douée, elle nous plante le décor en Alaska. Nous rappelons à notre aimable lectorat que le DH, c’est un vampire. En mieux, certes, mais les rayons du soleil ne sont pas vraiment bénéfique. Du coup, l’Alaska, si près des pôles, cela crée un certain nombre de problématiques liées à la durée du "jour" et de la "nuit". Par une machination plus ou moins réussie et l’arrivée subite du blizzard, Zarek se retrouve coincé chez Astrid. Qui va alors avoir le temps de tester "la bête"…
Et comme Sherrilyn aime pimenter les choses, elle a lancé après le couple une série de méchants assoiffés de sang et de vengeance, si bien que le jugement de Zarek ne va pas se dérouler dans la paisible béatitude de la maison d’Astrid.
Mais dans un sens, c’est dans les situations désespérées que l’âme profonde des hommes (et des DH) se révèle. C’est là, j’imagine, le message philosophique de l’auteur (oui, moi, dans les DH, entre deux bastons et trois scènes de découvertes des sens, je vois de la philosophie). Astrid saura voir la véritable nature de notre sombre héros lorsque, dans la tourmente, ce dernier fera passer le bien-être des autres avant le sien.
Il est donc question de trahison, de rédemption, et d’acceptation.
Allez le lire, c’est un ordre.
Avant de rendre l’antenne, juste un mot sur la traduction du titre. Astrid, en bonne nymphe qu’elle est, a un animal/compagnon à la digne mesure de son rang : un loup blanc nommé Sacha, qui est en réalité un "were-hunter" - terme de l’auteur qui désigne un être s’apparentant au loup-garou, en mieux, bien évidemment.
Du coup, je me demande ce qui est passé par la tête de l’éditeur pour qu’il se dise soudainement que "Le loup blanc" était un titre parfaitement crédible pour ce livre dont le titre en VO s’apparente plus à "Danse avec le diable".
Nan, vraiment, je ne sais pas…
Bonne lecture en tous les cas,
Tam-Tam
Oui chef, je vais lire! :-)
RépondreSupprimergenre tu vas faire semblant de ne pas déjà l'avoir lu et adoré en plus!
Supprimerbon, je l'ai déjà dit sur FB, j'avais adoré !!! j'aime beaucoup ta théorie des noms en -ek. :))
RépondreSupprimern'est ce pas...il me faut maintenant en trouver d'autres!!
SupprimerJe plussoie cet article, rien que parce que mon expérience personnelle confirme ta théorie des prénoms en -ek ! Oui madame !
RépondreSupprimerConcernant la traduction du titre, c'est sûrement parce que le lectorat français n'est pas assez finaud pour comprendre les nuances ! Tu comprends il faut bien que les traducteurs s'adaptent à leur public ! Le loup blanc, c'est simple, alors que Danse avec le diable, on se gratte la tête pour visualiser !
:-)
ouais, mais pour le coup, le loup blanc en question n'est qu'un personnage annexe!!
SupprimerIl n'est pas un protagoniste indispensable, d'ou ma protestation!
Dans ce cas, on ne sait pas on ne sait plus ! :)
Supprimerje chouine, je sais, mais ne trouves tu pas qu'il y aurait sans doute eu bien des traductions plus adaptées pour ce livre?
SupprimerAh non non je ne te trouve pas chouineuse du tout ! Je suis bien de ton avis, rares sont les traductions à qui l'on n'a rien à reprocher ! D'ailleurs ma mère lis en ce moment la série des enfants de la Terre de Auel, et cela l'incite à lire en VO car la traduction est bien lourde !
Supprimerhaha...tu vas rire, mais cette série, je l'ai lu en francais, sauf le dernier tome que j'ai lu en VO.
Supprimerd'une part parce qu'à l'époque ou je l'ai découverte, j'étais encore en VF only (15 ans, on me pardonnera) et qu'il y avait 4 tomes de sorti en VF, de quoi faire ^^
et comme je l'ai lu, relu, re-relu...je t'avoue que je l'aime en VF, sans doute plus par nostalgie que parce que la traduction est splendide!
Ah oui tout s'explique, le nostalgie de relire ces romans en français, la langue dans laquelle tu les as découvert, je comprend, mais en l’occurrence ma mère vient de commencer la série et la traduction lui laisse un goût amer. En tout cas tout ça me donne envie de me plonger dans cet univers préhistorique, je suis d'ailleurs aller relire ton billet et je vais m'empresser de mettre le nez dans cette saga !
Supprimerta maman a commenté je crois!! merci tout plein!
Supprimerles sagas, j'en ai encore quelques unes sous le coude a chroniquer, mais j'ai toujours peur de ne pas leur rendre justice!
il ne faut pas spoiler, mais en meme temps, sur plusieurs tomes, c'est parfois dur d'expliquer ce qui se passe sans spoiler!
Ah trop fort si ma mère est venue voir ! Fais attention elle pourrait devenir accro à vos billets ! Totalement d'accord, c'est dur de chroniquer une saga car presque impossible d'en parler sans spoiler, et puis comment faire ressentir toutes les finesses des personnages en un billet, alors qu'il faut à l'auteur plusieurs tomes ? Pas facile tout les jours d'être une princesse moderne ! Ceci dit, essaye quand même, j'aime trop ces billets ^^
SupprimerJe vais peut etre essayer de faire les semailles et les moissons de troyat. Mais je vais sans doute me concentrer sur le derniers opus, celui avec la fille...
Supprimertu les as lu?
Ah génial ils sont justement sur ma PAL ! Oh oui un billet :)
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