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12 juillet 2013

Jet, enfin!!!

Comme quoi, il suffisait de demander! Voyez-vous, La Petite Lady devait nous écrire un article, c'est chose faite, et elle est en forme!

(Juste, pardon les gars mais c'est QUOI cette couverture trop moche d'un type qui fait peur là? C'est supposé me faire rêver?? Raté... pas vous?) Enfin bon, passons, on sait déjà que la couverture de romance est un art mystérieux que personne ne maitrise et que ce n'est certainement pas ça qui va me faire acheter un livre! (surtout vu le regard halluciné du jeune homme qui me fixe, vaguement vitreux. Je ne veux pas savoir ce qu'il a pris pour ressembler à ça!)

Enfin bon, c'est les vacances (c'est l'été en tout cas), installez-vous confortablement, prenez un verre bien frais, et venez lire son (long) article à pleurer de rire avec de la science de la romance dedans... 

Chi-Chi

Bonjour, je prendrais bien un Jet (27).

Si jamais je n’avais pas peur du courroux de Chi-Chi, je pense que je m’arrêterai là parce qu’en soit ça résume bien mon sentiment général post-lecture.

Hihihi #paillettes #groupie #lovetatooboys
(non je ne suis pas sur Tweeter mais je gazouille quand même si je veux !)

Mais j’ai bien trop de respect pour Chi-Chi pour lui infliger cet affront, d’autant qu’elle attend relativement patiemment (le fait que je sois en Outre-Mer aide peut-être) cet article depuis une semaine (note de Chi-Chi: UNE SEMAINE??!!! Dis plutôt un mois!). A ma décharge, je dirais que j’ai voulu faire les choses bien: j’ai relu le livre plusieurs fois afin d’en faire la critique la plus juste et la plus fidèle (et récolter quelques citations sympathiques pour agrémenter le tout).

Tout d’abord, braves gens, damoiselles et damoiseaux (rayez la mention inutile), laissez-moi vous faire une confession: je suis une novice totale en matière de romance, mes lectures de prédilections étant plutôt dans le thème polar/héroiquo-fantastique avec histoire d’amour en arrière-plan. J’ai bien lu quelques romances dites classiques (Marc Darcy si tu m’entends), mais avec Rule, je lisais ma première romance directement approuvée/conseillée/validée par les princesses. Fraichement armée d’un Kindle (avec lequel je vous annonce mes fiançailles sous peu, on passe notre vie ensemble faut dire), j’ai décidé de me laisser tenter par Rule (petit prix mais maxi plaisir). Ayant beaucoup aimé Rule, j’ai décidé de continuer sur ma lancée avec Jet.

FAUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUX, pour éviter de mettre Kholer en colère (comment ça elle n’est pas inédite cette blague !?)

Je dois vous avouer: Rule n’était pas ma première romance. Chi-Chi m’avait prêté il y a quelques années le premier tome de la Confrérie de la Dague Noir un jour que je lui vantais en long en large et en travers les mérites de Damon et autres vampires de série (je précise que c'est une des rares fois où j'ai prêté quelque chose que je n'avais pas aimé, mais je n'avais rien d'autre sous la main - C.). J’ai donc lu L’amant Ténébreux et en français s’il vous plait... Je trhemble enchore devant le thalck pour bhébhé, c’est vous dire.
NB: désolée pour les fans de J.R. Ward et pour celles qui ne comprennent pas la blague, mais la confrérie et moi on a clairement pas accroché.

Bref, tout ça pour dire que j’ai lu Jet. (Format ebook / anglais facile) et que je le conseillerai à toutes celles qui ont aimé Rule. Nul besoin d’avoir lu Rule pour lire et comprendre Jet, mais c’est tout bonus pour mieux y apprécier l’histoire sachant que ça se passe après.

Basiquement, c’est un peu le même schéma que Rule et Shaw (le bad-boy et la perfect girl): vous prenez un beau tatoué aux pantalons hyper-slim qui fait de la musique, une belle fille intelligente avec bottes de cow-boys au passé un peu mystérieux qui veut toujours être maitresse de son destin, vous rajoutez des parents totalement honteux qui vous font perdre foi en l’Amour, un frère beau en faire damner un saint voire des seins (jeu de mot honteux mais totalement adapté selon le contexte). Vous saupoudrez le tout d’une attraction physique tellement palpable que nos deux protagonistes sont bien les derniers à se rendre compte qu’ils veulent être
naked together” (ce n’est pas moi qui le dit, c’est Ruuuule). Vous rajoutez des bagues et un drame avec un grand D et hop ça fait une Love Story.

Globalement Ayden m’a un peu saoulé mais heureusement Jet était là pour relever le niveau  Donc je plussoie l’alternance des points de vue!

Ce que j’avais envie de dire à Ayden pour la secouer et la sortir de sa torpeur:
  • Quand Ayden dit “There were too many boys for too many bad reasons” a.k.a “J’ai honte de mon passé parce que j’ai fait pleins de galipettes pour de mauvaises raisons, mais surtout pour aider mon frère en fait”, et qu’elle pense que ça justifie le fait qu’elle doive s’éloigner de Jet. Alloooooo, tu parles de JET, le mec qui a enchainé les conquêtes d’un soir pendant des années ...Qui est-t-il pour te juger là-dessus non mais sérieusement !!! T’es un peu crétine de croire que ça va changer quoi que ce soit, ça va peut-être lui éviter de croire que tu es une petite fleur innocente (cf. la suite), ce qui t’énerve.
  • Quand Ayden a ses pseudo-crises de culpabilités à base de "bouhou si mes amis savaient qui j’étais avant, ils me mépriseraient, bouhou il faut donc que je continue à leur mentir". Allooooo mais apprends ce que ça veut dire le mot AMI. Et puis tu ne parles pas de Mr et Mme Parfaitsoustouteslescoutures, tu parles quand même d’un groupe de hard rock, de tatoueurs professionnels avec un passé... Alors si eux te tournent le dos quand ce ne sont clairement pas des enfants de cœur, ça sera PAS pour ton passé.
  • Et je m’arrêterai là pour éviter les spoilers... mais je peux vous dire que j’ai eu de nombreuses fois un monologue avec Ayden pour qu’elle arrête de se prendre pour ce qu’elle n’est pas. Non Ayden, tu n ‘est pas indigne de l’amour des gens et ce n’est pas parce que tu n’as pas été un ange dans ton adolescence que toute ta vie les gens vont te tourner le dos!
Jet, Jet, je n’ai pas grand-chose à te dire... Tu es un personnage attachant, assez cohérent de bout en bout et cela malgré des parents complétement indignes !

Puisque ce sont bientôt les résultats du bac de Français (enfin ça l'était quand l'article a été écrit la semaine dernière - C.), je me propose de vous démontrer par a+b pourquoi lire des romances est bénéfique pour la culture stylistique et des champs sémantiques. Cela peut toujours servir si vous arrivez à bout d’argument sur les bienfaits de la lecture de romance... Mais je doute que vous y arrivez un jour.


DE L’ART DES FIGURES DE STYLE AVEC JAY CROWNOVER:

"He tasted like whiskey and the sweetest kind of temptation there was."
Il avait le goût du whiskey et de la plus douce des tentations qu’il puisse exister.
"She tasted like wine and invitation."
Elle sentait le vin et le parfum enivrant d’une invitation. (Et c’est comme ça que les drames traductionnels commencent)

Ceci sont de magnifiques zeugmas : le zeugma est une figure de style qui consiste à lier syntaxiquement deux termes à un verbe (ou adjectif). Ces deux termes sont quant à eux incompatibles et entretiennent un rapport différent avec le dit terme-lien.

Application : poésie réussie avec Jay Crownover.
Grand manitou du genre : feu Pierre Desproges !

"I couldn’t forget that he thought I was just some innocent little flower who shouldn’t be touched by dirty hands."
Je ne pouvais oublier qu’il pensait que je n’étais qu’une innocente petite fleur qui ne devait pas être touchée par des mains moins innocentes.
Ceci est un parfait exemple de la très célèbre figure de style qu’est la métaphore, une figure de style qui associe quelque chose (ici Ayden) à un autre champ sémantique (ici la fleur) afin de traduire/d’illustrer une idée/un sentiment (ici quelque chose de beau, pure et naturel qui ne demande qu’à être protégé).

Quoi que je me questionne encore sur le choix du terme fleur avec l’adjectif innocente, serait-ce un oxymore ironique dissimulé pour véhiculer une toute autre idée, bien moins pure ?

Notons l'euphémisme dans ma traduction.

"This was a kiss that was filled with promise, filled with all the things that had been hot and heavy between us for so long."
C’était un baiser qui était rempli de promesses, remplies avec toutes les choses qui avaient été brulantes et étouffantes entre nous pendant si longtemps.
Ceci est une métaphore filée. La même chose qu’une métaphore mais avec encore plus de mots des champs sémantiques imagés.

On remplit rarement un baiser avec quelque chose de concret. Certes, une fois j’ai rempli ma bouche avec des pâtes, beaucoup de pâtes, vraiment beaucoup de pâtes (Lady D. peut en témoigner) mais m’est avis que personne n’aurait voulu remplir avec moi un baiser. (On ferait beaucoup de choses pour gagner un concours, même ressembler à un hamster).

"You really think I’m about to let you guys roam around this city unsupervised? The female population of Denver would never survive it."
Tu pensais vraiment que j’allais vous laisser parcourir la ville sans surveillance? La population féminine de Denver n’y survivrait jamais.
Nous avons là une hyperbole, figure de style qui met en relief une idée au moyen d’une expression exagérée. Les filles de Denver y survivraient mais leurs nuits seraient surement très occupées.

"Look, I don’t know about love but I am infatuated with him. He makes me smile just being in the same room... [18 lignes] I might be in love with him, but I can’t be."
Écoute, je ne sais pas ce qu’est l’Amour mais je suis sous le charme. Il me fait sourire juste en étant dans la même pièce [AydenesttropamoureusedeJet] Il se pourrait peut-être que je sois amoureuse de lui mais je n’ai pas le droit.
Nous avons là un bon gros mensonge de Ayden. (cf. ce que j’ai dit plus haut) et accessoirement une petite litote (bien qu’elle veuille nous faire croire le contraire) car on sait tous que dans le fond elle veut juste dire: Je suis complétement raide dingue folle amoureuse de lui et je ne peux imaginer ma vie sans lui, mais non elle se contente de dire “Il se pourrait que je sois amoureuse”.

La litote est effet une figure de style qui en dit quelque chose sous une forme atténuée pour finalement en dire plus.

Ayden nous a juste fait la version moderne du célèbre “Va, je ne te hais point”.

NB: Si on poussait plus loin l’analyse, on pourrait presque dire qu’Ayden utilise une sorte de prétérition, figure de style qui consiste à dire que l’on passe sous silence quelque chose alors que finalement on ne fait qu’en parler. Ayden veut nous faire croire qu’elle ignore tout de l’amour... Alors pourquoi nous en donne-t-elle une définition de 18 lignes ? Mais bon, je pousserai Mémé dans les orties en disant ça.

Et c’est loin d’être fini, il y a tout plein de jolies figures de styles utilisées dans la romance. (On me dit dans l’oreillette qu’il y a aussi des moins poétiques, notamment chez J.R. Ward mais ce sont les aléas du style, Hit or Miss), mais c’est tout pour le moment (Lady D. c’est pour toi  aussi).

Je dois avouer que j’aime beaucoup le zeugma et la prétérition. J’aime jouer sur les mots avec le zeugma et ne pas parler des choses tout en parlant avec la prétérition.

Et vous quelle est votre figure de style préférée avec exemple à l’appui tiré d’une romance ?

Dernier point qui m’a un peu chiffonnée... Les descriptions de Jay Crownover sont parfois un peu trop facile à base de :
  • N’importe quel garçon avec des cheveux roses comme les siens aurait l’air ridicule, mais non Rule était magnifique.
  • N’importe quel garçon portant des pantalons si slim aurait l'air ridicule, mais non Jet était SO sexy.
C’est un peu facile, moi aussi je peux le faire :
  • N’importe quelle table avec une telle nappe aurait eu l’air de mauvais goût, mais non, le jaune caca d’oie donnait à cette table un côté irrésistible!
Pour finir, je dirais que nos deux tourtereaux ont souffert non pas des situations complexes dans lesquelles ils ont été amenés à vivre (cambriolage, hospitalisation, tribunal, rupture familiale etc.), mais plutôt d’un manque de quelque chose entre eux... un truc qui commence par un grand C majuscule.

Je parle évidement de Communication !!!

J’ai vraiment l’impression qu’ils se seraient évité pas mal d’ennuis et de rebondissements si Ayden avait été plus honnête ... (ouais franchement je trouve que c’est “tout de sa faute”, mais ne vous méprenez pas hein, je l’aime bien dans le fond Ayden, elle a ce côté dure-à-cuire je-veux-régler-mes-problèmes-toute-seule  que je comprends même si souvent ça ne lui réussit pas)

Donc les ami(e)s, bien que Ursula (la vilaine pieuvre qui torture Ariel, aka moi donc - .C) nous ait dit de pas sous-estimer l’importance du langage du coooorps (ce que nos deux tourtereaux n’ont pas sous-estimé croyez-moi), il faut encore moins sous-estimer importance du langage tout court dans les romances mais dans la vie aussi... C’est la MORALE de notre histoire.

Comme quoi tout est bon à prendre dans cette romance!

A VENIR L’HISTOIRE ENTRE LA DELICIEUSE CORA ET LE NON MOINS DELICIEUX ROME (schéma inversé cette fois, youpi, la bad girl et l’ex-soldat)
#tattoenformedecoeur
  
  
La Petite Lady
 
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10 mai 2013

Rule

Aujourd'hui, je vous parle de Rule, de Jay Crownover. Encore une nouvelle pas traduite et seulement en format ebook… Vous allez finir par croire que je vous en veux mais ce n’est pas de ma faute, cette fois, c’est celle de Cess ! Elle m’a promis des papillons dans l’estomac, et la denrée se fait rare ces jours-ci, du coup j’écoute n’importe quoi (enfin n’importe quoi… je me comprends ! Si vous voulez me recommander quelque chose n’hésitez pas surtout, de toute façon je n’en fais qu’à ma tête – celles qui essayent de me faire lire J.R. Ward depuis des années peuvent en témoigner) !

Je disais donc, c’est de la faute de Cess, elle n’avait qu’à pas me donner envie de lire une romance Young adult avec un héros percé et  tatoué (et tatoueur d’ailleurs – à la description de ses tatouages et autres piercings, je ne suis pas sure que j’aimerai tout, mais le point de vue réellement artistique sur la transformation du corps est intéressante à lire, et dépasse les clichés que l’on trouve souvent en la matière, surtout pour nous français qui voyons encore trop souvent le tatouage comme quelque chose de négatif – ici c’est vraiment un art mis en valeur et décrit par une auteur qui sait de quoi elle parle !).
 
Rule (non mais sérieux, c’est quoi ce prénom ??!) est donc notre héros. C’est un écorché vif, il a 23 ans, et ne se remet pas du tout de la mort de son frère jumeau trois ans plus tôt. Il se noie dans l’alcool, le sexe et les tatouages, cliché over-usé du bad boy de série B. Sauf le dimanche. Le dimanche, Shaw (euh, là aussi, le prénom ?? On pourrait avoir une Marie-Caroline un de ces jours, ce serait presque plus original finalement…), la meilleure amie de son frère se pointe. Celle que sa famille a quasiment adopté et dont elle pense secrètement que c’était plus que la meilleure amie mais chut, on n’en parle pas. Le dimanche donc, Shaw vient le trainer par sa crête iroquoise pour l’obliger à aller bruncher avec ses parents.
 
Je vous laisse imaginer le tableau d’une Shaw de très bonne famille, blonde, riche et bien propre sur elle, avec notre bad boy de service. Qui a dit cliché déjà ? Certainement pas moi…
Shaw est un peu plus jeune, elle est encore étudiante, veut devenir médecin, se plie en 27 pour obtenir l’approbation de ses propres parents et compense avec la relation adoptive qu’elle a aux parents de Rule.
 
Voilà pour les personnages.
 
L’histoire maintenant ? On ne peut plus classique… 

Shaw est en fait amoureuse de Rule depuis la première seconde où elle l’a vu, elle n’avait que 14 ans. Remy, le frère jumeau décédé, était réellement son meilleur ami, son protecteur. Mais Shaw est aussi une fille intelligente. Lucide. Elle sait très bien que Rule ne regarderai même pas dans sa direction, qu’il croit qu’elle était la copine de son frère. Et surtout, qu’elle est plus jeune, qu’elle est trop riche, trop proprette, trop parfaite, et peu importe finalement ce qu’elle pense réellement derrière cette apparence de perfection du moment que cela colle bien avec l’image que le monde attend d’elle. Parce que Shaw est persuadée que, malgré les années, Rule ne lui adresse la parole et ne continue à rester poli que par fidélité à son frère et non pas par affection envers elle. Les brunchs du dimanche sont donc un grand moment familial, entre la relation de ces deux-là et l’ambiance plus que tendue entre Rule et ses parents qui n’approuvent ni son look, ni sa carrière, ni son style de vie, ni le fait qu’il ne soit pas mort à la place de son frère…
 
Jusqu’au dimanche de trop… Jusqu’à la dispute de trop qui fait voler en éclat le status quo et remet en question l’équilibre fragile entre nos héros…
 
Comme vous pouvez le constater, aucun cliché à l’horizon, vraiment ! Mais ne vous laissez pas intimider par ces stéréotypes à répétition. Rule et Shaw ensemble, c’était improbable à première vue, sauf dans cette jolie petite romance qui a décidé de prendre absolument tous les clichés de la jeune fille riche et du bad boy (ok, il n’est pas pauvre) et de bien secouer tout ça pour donner une histoire que je n’ai pas réussi à lâcher. Le terme jolie petite romance est donc totalement inapproprié, ce n’est pas joli. C’est intense. Rule ne fait pas semblant d’être torturé ou sacrément abimé, c’est une cocotte-minute en permanence sur le point d’exploser et il a en face de lui une gentille petite fille qui n’est finalement pas si gentille que ce qu’elle veut bien laisser croire, et qui n’a aucune intention de se laisser marcher sur les pieds sous prétexte qu’elle est amoureuse !
 
Je ne vous ne dit pas plus, il y a bien une petite intrigue autour de l’ex de Shaw, l’amorce de la suite (annoncée pour fin mai et j’attends ça avec impatience) avec la coloc’, mais vraiment, ce qui nous intéresse ici, c’est de voir ces deux-là apprendre à se parler, et à assumer qui ils sont, à laisser tomber les masques et à s’accepter.
 
Petite précision que j’ai particulièrement apprécié : le livre est construit avec une alternance de chapitres du point de vue de Rule et du point de vue de Shaw, je ne sais pas pour vous mais plus ça va, plus j’aime avoir un regard sur ce qui se passe dans la tête du héros autant que de l’héroïne !
 
Je vous laisse donc avec les instructions pour la prochaine fois : super livre, vous pouvez aller le lire ! (Si vous cherchez des infos en plus, vous verrez de très nombreuses critiques par rapport aux coquilles dont le livre est semé – juste pour signaler que la version en vente actuellement a été éditée et corrigée depuis et que si il reste quelques coquilles, c’est sans commune mesure avec le bazar antérieur !)
 
  
Bonne lecture,
Chi-Chi
 
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