Aujourd'hui, je répare une grande injustice.
Aujourd'hui, je remet de l'ordre dans ce blog.
Aujourd'hui je fais un retour aux sources.
Aujourd'hui je termine enfin les chroniques de mon Top 15 !
Comprenez, aujourd'hui je vous parle de Lord of scoundrels (Le prince des débauchés) de Loretta Chase, tome 3 de la série Scoundrels (mais vous pouvez les lire en indépendant, cela ne perturbe pas la compréhension) !
Sebastian est ce prince des débauchés, et pour une fois, il n'a pas volé son surnom.
Aujourd'hui, je remet de l'ordre dans ce blog.
Aujourd'hui je fais un retour aux sources.
Aujourd'hui je termine enfin les chroniques de mon Top 15 !
Comprenez, aujourd'hui je vous parle de Lord of scoundrels (Le prince des débauchés) de Loretta Chase, tome 3 de la série Scoundrels (mais vous pouvez les lire en indépendant, cela ne perturbe pas la compréhension) !
Sebastian est ce prince des débauchés, et pour une fois, il n'a pas volé son surnom.
Vous avez déjà remarqué comme en romance historique, presque tous les héros sont qualifiés de libertins, et pourtant ils semblent n'avoir qu'un tout petit passé de rien du tout, à peine une ou deux maîtresses qui traînent mais avec qui ils sont restés en bons termes, des petites dettes de jeu parfois mais rien de ruineux, même pas une malheureuse jeune fille de bonne famille ruinée dans les règles de l'art et, à part un héros fameux d'Eloisa James dont je parlerai bientôt, a peine le quota réglementaire d'enfants illégitimes ! En un mot comme en cent, le héros de romance n'a souvent de libertin que le nom, et pas l'attitude.
Ce n'est pas le cas ici. Sebastian a mérité son titre, et dans la première moitié du roman, il se montre à la hauteur de sa réputation.
Jessica Trent, quand a elle, est une (plus très) jeune lady tout à fait non-conventionnelle. Elle refuse de se marier, ne ménage pas ses actes ou ses paroles sous prétexte de bienséance, et a l'ambition d'ouvrir une boutique d'antiquités (c'était déjà oh-so-shocking pour un homme de faire du commerce, mais alors une femme...). Lorsqu'elle apprend que son frère a décidé de lier sa réputation et les finances familiales à la vie débauchée de Sebastian Ballister, Jessica n'est pas du tout d'accord !
Et la voilà donc qui débarque, avec armes, bagages et tantine sous le bras, pour essayer de remettre frérot dans le droit chemin. Mission délicate quand on a, comme le frérot en question, autant de jugeote qu'un bébé koala (je ne sais pas si le bébé koala est malin ou pas, mais en tout cas, il ne doit pas être très doué en gestion financière. Ou en logique.) et que l'on trouve que l'argent, les femmes et l'alcool, c'est drôlement plus cool qu'une grande sœur qui n'apprécie pas de vous voir tout perdre au jeu (quelle rabat-joie franchement).
C'est donc vers notre héros que notre héroïne va se tourner, essayant de le convaincre que ce serait une excellente idée de se débarrasser de ce nouveau disciple dont la cervelle trop légère ne pourrait que nuire à sa réputation.
Voila pour la mise en place, après, je ne vous fait pas un dessin, la routine habituelle, ils se chamaillent, ils se battent même (physiquement) (plusieurs fois), elle achète des montres avec des dessins érotiques, il a eu une enfance traumatisante, quelqu'un prend une balle dans le bras, ils font des pique-niques, ils se marièrent, ne vécurent pas heureux puis vécurent heureux, puis tout un tas de réputations sont sauvées (vous avez compris que la réputation est un truc important pour les gens de l'époque) et tous ces personnages réunis vous feront beaucoup beaucoup rire au passage !
Ce n'est pas le cas ici. Sebastian a mérité son titre, et dans la première moitié du roman, il se montre à la hauteur de sa réputation.
Jessica Trent, quand a elle, est une (plus très) jeune lady tout à fait non-conventionnelle. Elle refuse de se marier, ne ménage pas ses actes ou ses paroles sous prétexte de bienséance, et a l'ambition d'ouvrir une boutique d'antiquités (c'était déjà oh-so-shocking pour un homme de faire du commerce, mais alors une femme...). Lorsqu'elle apprend que son frère a décidé de lier sa réputation et les finances familiales à la vie débauchée de Sebastian Ballister, Jessica n'est pas du tout d'accord !
Et la voilà donc qui débarque, avec armes, bagages et tantine sous le bras, pour essayer de remettre frérot dans le droit chemin. Mission délicate quand on a, comme le frérot en question, autant de jugeote qu'un bébé koala (je ne sais pas si le bébé koala est malin ou pas, mais en tout cas, il ne doit pas être très doué en gestion financière. Ou en logique.) et que l'on trouve que l'argent, les femmes et l'alcool, c'est drôlement plus cool qu'une grande sœur qui n'apprécie pas de vous voir tout perdre au jeu (quelle rabat-joie franchement).
C'est donc vers notre héros que notre héroïne va se tourner, essayant de le convaincre que ce serait une excellente idée de se débarrasser de ce nouveau disciple dont la cervelle trop légère ne pourrait que nuire à sa réputation.
Voila pour la mise en place, après, je ne vous fait pas un dessin, la routine habituelle, ils se chamaillent, ils se battent même (physiquement) (plusieurs fois), elle achète des montres avec des dessins érotiques, il a eu une enfance traumatisante, quelqu'un prend une balle dans le bras, ils font des pique-niques, ils se marièrent, ne vécurent pas heureux puis vécurent heureux, puis tout un tas de réputations sont sauvées (vous avez compris que la réputation est un truc important pour les gens de l'époque) et tous ces personnages réunis vous feront beaucoup beaucoup rire au passage !
En fait, je vous avoue quelque chose, Lord of scoundrels a provoqué mon premier fou-rire de lectrice de romance. Ce n'est pas forcément le livre le plus drôle, dans son ensemble (je pourrais vous citer quelques comédies plus que réussies, ou vous envoyer relire nos chroniques au 72ème degré), mais quand elle veut nous faire rire, Loretta réussit bien son coup !
Pour résumer, Lord of scoundrels est ma romance préférée de cette auteur (je trouve d'ailleurs qu'elle n'est plus aussi bonne qu'avant), et une de mes romances préférées de tous les temps, et vous devriez la lire si ce n'est pas déjà fait (en plus elle est traduite, aucune excuse) !
Bonne lecture,
Chi-Chi
hihii !! ça tombe bien, celui-là, je l'ai !!
RépondreSupprimerLa question est : vais-je lire le tome 2 ou directement, sauter au tome 3 !? ^^
A mon humble avis, tu peux passer direct au 3! ^_^
SupprimerC'est ballot, j'avais acheté toute la série ! J'ai "détesté" le 1 et je pense effectivement sauter le 2 sinon je serais trop décourager pour la suite !
SupprimerPour moi, sa "bonne" série, ce sont les Carsington. Les Scoundrels, je n'ai vraiment aimé que celui-là!
SupprimerTu peux tjs revendre les autres! ;o)
La première romance que j'ai lu :) J'avais adoré, et je n'ai pas lu les 2 premiers ^^
RépondreSupprimerJ'ai lu les autres apres et je ne les ai pas aimé autant, clairement!
SupprimerIncroyable ton billet : je viens de le lire ! Et je me disais justement combien c'était bon ! Je l'ai trouvé vraiment très drôle, j'adore leurs échanges, surtout au début !
RépondreSupprimerJe garde un souvenir memorable de la scene ou elle lui tape dessus avec son bonnet, et ils sont dans la rue sous un lampadaire... Ils m'avaient fait mourir de rire! ^_^
SupprimerBon, bah il va me falloir le relire du coup....pffff....
RépondreSupprimerje peux demander à ce que les journées soient allongées de 12h pour pouvoir avoir le temps de tout faire?
je suis sure que tu es d'accord en plus!
Grave d'accord!!!!
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