Me voilà de retour avec un peu de contemporain, et une super comédie qui serait parfaite adaptée en film ! Sans oublier of course quelques chansons d’Abba pour la bande originale !
C’est donc le livre que j’ai emmené avec moi à Londres et qui m’a fait rigoler comme une baleine à tel point que la copine qui m’hébergeait est partie se l’acheter dès lundi matin…
Après, moi, je dis ça… Vous êtes surs que vous avez besoin de plus de détails ?
Bon, bon, d’accord…
Call me wild de Robin Kaye est le tome cinq de sa série sur les fées du logis (je ne suis pas sûre qu’il y ait un titre « officiel » alors j’ai décidé de l’appeler comme ça !), série dont je vous ai déjà chroniqué les tomes un et quatre…
On retrouve ici les classiques : Jessie est journaliste sportive pour le New York Times, elle adore son job et à un toooout petit peu de mal à bien vivre le fait de se faire virer par email… Vous comprenez ma brave dame, l’économie, tout ça tout ça…
Sur les bons conseils de son meilleur ami Andrew, Jessie sous-loue son appart et part pour Boise, Idaho, où elle a comme projet d’écrire une romance, tout en bossant au Starbucks du coin pour se nourrir, le temps de retomber sur ses pieds et de relancer sa carrière.
Pourquoi une romance me direz-vous ? Eh bien Jessie n’en a jamais vraiment lu, mais elle se dit qu’après tout, cela ne doit pas être trop difficile à écrire, que le marché se porte bien (c’est vrai, c’est le seul secteur de l’édition en expansion actuellement), et que cela lui permettra de se faire de l’argent facilement. A ce stade, lecteur, j’aime bien Jessie mais j’espère qu’elle va sérieusement se rétamer, tellement ce cliché de la romance comme de la sous-littérature m’énerve. Bon, ok, on sent un tout petit peu que l’auteur s’est amusée à mettre ces mots dans la bouche de Jessie pour rétablir un peu la vérité sur la romance. Sauf qu’elle fait ça dans une romance, qui ne sera lue que par des lectrices de romances et qui donc, elles, sont déjà au courant. Enfin je l’espère.
Mais passons, les clichés que Jessie se fait sur la romance m’ont bien fait rire, et heureusement pour elle, elle finit par revenir dessus. D’autant que Fisher, notre héros, lui, a lu des romances. Et il n’a même pas honte de le dire ! A Jessie. Lors de leur première date.
Fisher, je t’aime, épouse moi (malgré ton nom ridicule) !
Fisher, c’est l’homme parfait. Enfin surtout physiquement. Il ressemble à Sawyer dans Lost, mais en version plus propre (quoique, perso, notez bien que je ne me plains pas de la barbe de Sawyer…). Le seul souci avec Fisher, c’est qu’il passe ses journées à ne rien faire (forcément, puisqu’il passe au Starbucks à 11h du matin) et qu’il vit avec sa mère (forcément puisque sa maison est nickel chrome impeccable, CQFD !). Enfin, ça, c’est bien sûr ce que croit Jessie, qui ne va pas manquer d’avoir la surprise de sa vie ! (et non Fisher n’est pas agent de la CIA…)
Le problème entre ces deux-là (outre un statut peu enviable de chômeur vivant avec sa mère, aussi connu sous le nom tant redouté de Grand Malentendu) ? Jessie ne croit pas en l’amour. Mais genre vraiment pas hein ! En mode « c’est un mythe inventé pour que les femmes puissent mieux endurer le mariage quand elles ne travaillaient pas et étaient obligées de se trouver un homme pour subvenir à leurs besoins » ! Rigolez donc un peu, miss-je-ne-crois-pas-en-l’amour qui veut écrire une romance !!!
Heureusement que notre héros, noble et dévoué, va réussir avec classe et patience (et un aspirateur, n'oublions pas que c'est une fée du logis) à persuader notre héroïne du contraire, sous nos yeux ébahis et pour notre plus grand bonheur…
Je disais donc, Call me wild est une romance très sympa, toute légère et douce, super rigolote, où l’on retrouve en filigrane les personnages précédents de la série ! (pas de panique, vous pouvez aussi le lire tout seul, vous ne manquerez aucune information essentielle)
Et maintenant, comme disent les juristes, dont acte.
Je vous dis que ce livre est super, et vous, vous lisez !
C’est donc le livre que j’ai emmené avec moi à Londres et qui m’a fait rigoler comme une baleine à tel point que la copine qui m’hébergeait est partie se l’acheter dès lundi matin…
Après, moi, je dis ça… Vous êtes surs que vous avez besoin de plus de détails ?
Bon, bon, d’accord…
Call me wild de Robin Kaye est le tome cinq de sa série sur les fées du logis (je ne suis pas sûre qu’il y ait un titre « officiel » alors j’ai décidé de l’appeler comme ça !), série dont je vous ai déjà chroniqué les tomes un et quatre…
On retrouve ici les classiques : Jessie est journaliste sportive pour le New York Times, elle adore son job et à un toooout petit peu de mal à bien vivre le fait de se faire virer par email… Vous comprenez ma brave dame, l’économie, tout ça tout ça…
Sur les bons conseils de son meilleur ami Andrew, Jessie sous-loue son appart et part pour Boise, Idaho, où elle a comme projet d’écrire une romance, tout en bossant au Starbucks du coin pour se nourrir, le temps de retomber sur ses pieds et de relancer sa carrière.
Pourquoi une romance me direz-vous ? Eh bien Jessie n’en a jamais vraiment lu, mais elle se dit qu’après tout, cela ne doit pas être trop difficile à écrire, que le marché se porte bien (c’est vrai, c’est le seul secteur de l’édition en expansion actuellement), et que cela lui permettra de se faire de l’argent facilement. A ce stade, lecteur, j’aime bien Jessie mais j’espère qu’elle va sérieusement se rétamer, tellement ce cliché de la romance comme de la sous-littérature m’énerve. Bon, ok, on sent un tout petit peu que l’auteur s’est amusée à mettre ces mots dans la bouche de Jessie pour rétablir un peu la vérité sur la romance. Sauf qu’elle fait ça dans une romance, qui ne sera lue que par des lectrices de romances et qui donc, elles, sont déjà au courant. Enfin je l’espère.
Mais passons, les clichés que Jessie se fait sur la romance m’ont bien fait rire, et heureusement pour elle, elle finit par revenir dessus. D’autant que Fisher, notre héros, lui, a lu des romances. Et il n’a même pas honte de le dire ! A Jessie. Lors de leur première date.
Fisher, je t’aime, épouse moi (malgré ton nom ridicule) !
Fisher, c’est l’homme parfait. Enfin surtout physiquement. Il ressemble à Sawyer dans Lost, mais en version plus propre (quoique, perso, notez bien que je ne me plains pas de la barbe de Sawyer…). Le seul souci avec Fisher, c’est qu’il passe ses journées à ne rien faire (forcément, puisqu’il passe au Starbucks à 11h du matin) et qu’il vit avec sa mère (forcément puisque sa maison est nickel chrome impeccable, CQFD !). Enfin, ça, c’est bien sûr ce que croit Jessie, qui ne va pas manquer d’avoir la surprise de sa vie ! (et non Fisher n’est pas agent de la CIA…)
Le problème entre ces deux-là (outre un statut peu enviable de chômeur vivant avec sa mère, aussi connu sous le nom tant redouté de Grand Malentendu) ? Jessie ne croit pas en l’amour. Mais genre vraiment pas hein ! En mode « c’est un mythe inventé pour que les femmes puissent mieux endurer le mariage quand elles ne travaillaient pas et étaient obligées de se trouver un homme pour subvenir à leurs besoins » ! Rigolez donc un peu, miss-je-ne-crois-pas-en-l’amour qui veut écrire une romance !!!
Heureusement que notre héros, noble et dévoué, va réussir avec classe et patience (et un aspirateur, n'oublions pas que c'est une fée du logis) à persuader notre héroïne du contraire, sous nos yeux ébahis et pour notre plus grand bonheur…
Je disais donc, Call me wild est une romance très sympa, toute légère et douce, super rigolote, où l’on retrouve en filigrane les personnages précédents de la série ! (pas de panique, vous pouvez aussi le lire tout seul, vous ne manquerez aucune information essentielle)
Et maintenant, comme disent les juristes, dont acte.
Je vous dis que ce livre est super, et vous, vous lisez !
Bon vendredi et bonne lecture,
Chi-Chi
hihihi... on sent une légère déformation professionnelle non ?!
RépondreSupprimerBon... vraiment pour plus tard alors ! Parce que ma PAL est pleine pleine pleine !!!
Ooohhh moi, une déformation? Si peu... ;)
SupprimerEt en plus toi tu es déjà en train de lire un super livre!
(et je ne parle pas du Loretta Chase...)
Pourquoi ne savais-je pas que tu avais ce livre? J'avais complètement oublié qu'en plus de tous les autres auteurs que j'aime, il y avait Robin Kaye. Et maintenant 1) j'ai envie de lire le livre au lieu de faire mon ménage 2) je vais relire tes autres chroniques sur cet auteur.
RépondreSupprimerTu l'as en Kindle ou en ancien arbre transformé?
En ebook, désolée! J'aime bien l'ancien arbre transformé! :D
SupprimerJe valide ton programme de lecture...
Si la chronique ne suffit pas : j'ai failli arracher Isidore des mains de C. pour avoir enfin accès à ce livre qui la faisait rire toutes les 5min ! Il faut que je sache, j'ai trop hâte de le lire :D
RépondreSupprimerHi hi! Allez hop, un peu de lecture! Et les 4 tomes précédents sont aussi bien, tu sais ce qu'il te reste à faire : un petit week-end d'escapisme et c'est réglé! ^^
Supprimerhaha bon je me dépêche de finir the Hunger Games alors (different style mais super prenant !) et j'attaque
SupprimerAttaque, attaque, c'est bon, ça croustille sous la dent! ;)
SupprimerAh tu me donnes envie de le lire là tout de suite ! Il a l'air super, malgré sa couverture ! :)
RépondreSupprimerOh, les couvertures, tu sais... Je les regarde à peine, à force! ;)
SupprimerPourquoi en VO ??? Je n'ai aucune énergie à mettre dans une lecture en VO et je le regrette bien en lisant ton article...
RépondreSupprimerNote le pour un peu plus tard quand tu auras plus d'energie eventuellement mais il vaut vraiment la peine et je dirais que c'est le genre a te rebooster pour la VO justement! ;)
SupprimerComme je suis très tentée par la légèreté en ce moment, je télécharge l'extrait de Romeo, romeo (parce que je ne peux pas commencer par la fin)[D'ailleurs sur Goodreads ils mettent que c'est une autre série appelée Wild Thing mais dans les commentaires ils disent qu'on retrouve effectivement certains des personnages de la première série].
RépondreSupprimerJe ne suis pas bien sûre d'être émoustillée par un homme faisant le ménage, mais je suppose qu'il fait d'autres choses... :-)
Oui j'ai vu ça... Bon j'avoue que j'ai eu la flemme de pousser mes recherches plus loin quand à l'organisation de la série, et comme les deux s'enchainent, j'ai trouvé plus simple de les réunir. C'est que je suis encore un peu occupée à chanter Mamma mia dans un coin de ma tête! ;)
SupprimerQuand à l'homme qui nettoie, moi je trouve ça très émoustillant, parce que cela promet des looooongues semaines de tranquillité avant de devoir songer à faire la vaisselle... et comme tu dis, il sait trèèès bien utiliser ses mains pour d'autres choses! ^_^
Bon, je vais devoir m'y mettre, la PAL commence à être troppppp lourde!
RépondreSupprimerJ'ai tellement de retard, c'est pa-thé-tique.......
comment je vais faire?
un Read-a-Thon? ^^ oups, on l'a loupé!
ha oui, là c'est raté ! ^^
SupprimerRoooh oui tiens un RAT, on devrait se faire le notre rien qu'a nous tiens!
SupprimerIl a l'air très très bien ce livre. Pourquoi en anglais.... J'en ai marre !
RépondreSupprimerDesoleeeeee! ^_^
Supprimermais ce sont des bons candidats pour te rendre encore plus confortable avec la lecture en VO!